Comprendre nos enfants : leurs besoins, leurs défis et les erreurs des adultes

Les enfants ont besoin d’expérience pour découvrir le monde.

L’enfant a besoin de se sentir en sécurité.  Emotionnelle et matérielle. Il a besoin de jouer et de créer de découvrir le monde par ses expériences.

Le savoir, la connaissance, les règles sont une exigence de l’adulte qui demande pour lui-même trouver de la sécurité.

L’école n’est pas nécessaire en général. Ce n’est pas un besoin naturel pour l’enfant. Elle vient créer un formatage pour aligner les enfants pour le vivre ensemble. L’école aura tendance à lui enlever son unicité, son âme d’enfant. L’école est là pour apprendre à l’enfant à lire, à écrire, à rentrer en relation. Mais l’école ne va pas lui apprendre à être en paix, en joie. L’école est basée sur la punition et le prive de son humanisation.

Comment fonctionne un enfant ?

Un enfant arrive au monde avec l’attente bien naturelle d’être aimé, accueilli et sécurisé.

Il va se créer des tensions si
ses attentes ne sont pas comblés. 

è De la naissance à 2/3 ans, il est pure conscience ; il n’a ni de bien, ni de mal.

Ensuite, quand l’enfant est en mouvement, il va comprendre que l’amour est conditionnel car à chaque expérience de l’enfant (la bêtise selon les adultes) l’enfant va sentir (par la vibration) le non amour.

è De 3 à 7 il est témoin des conditions à l’amour.

il ne veut pas faire ses devoir, il est toujours puni, il ne veut plus aller au lycée, comment diminuer les écrans, pourquoi il est accro aux écrans

è L’Age de raison vers 6/7 ans va comprendre que l’enfant doit se modifier pour que ses parents l’aime (chantage affectif). La responsabilité arrive. Ce que je fais à une conséquence sur les autres. Je risque de ne plus être aimé, d’être exclu. 

Le rôle des parents est de rassurer
l’enfant en permanence.

Exemple : tu sais tout à l’heure j’étais très en colère. Je t’ai hurlé déçu parce que j’ai eu tellement peur pour toi. Ne le prend pas pour toi. C’est ma propre peur, ma propre
vibration. Pour toi c’est une expérience. Ne croit surtout pas parce que je suis en colère je ne t’aime pas.

Dans ce cas le parent est en train d’exprimer une blessure qu’il a eu dans son enfance qui n’a rien à voir avec l’enfant.

Mais si il n’y a pas ce temps cette verbalisation envers l’enfant, il prend la responsabilité de la colère de l’enfant et l’enfant se sent rejeté.

Bien verbalisé à chaque instant que c’est l’expérience et la souffrance qui s’exprime vient pas de l’enfant mais de la blessure du parent.

Colère de l’enfant

La colère de l’enfant si elle dure plus de 1min30, c’est qu’elle est non accueillie. Une colère non accueillie peut générer une blessure. C’est très souvent la colère des parents qui est activé par la colère de l’enfant.

Si l’enfant est colérique sur un sujet en particulier c’est que le parent nourri le sujet de la colère. L’enfant est en train de prendre la colère du parent.

Les caprices viennent de la faille d’un des deux parents. Le parent entretien une culpabilité qui crée une faille chez lui et l’enfant en profite pour avoir ce qu’il désire.

L’enfant sent les champs des possibles.

Exemple : la petite fille veut une Barbie le parent dit non (mais en culpabilisant car il pourrait lui acheter). Par contre si elle demande un hélicoptère, le parent dit non (sans
culpabilité car il n’a pas les moyens de l’acheter). La vibration n’est pas la même et l’enfant le ressent très bien.

L’enfant et la fratrie

IL y a une règle de base qui se répète.

L’enfant qui arrive en premier dans la famille est dédié à la ligné familiale paternel. C’est-à-dire que son âme a choisi d’être le porte-parole et le guérisseur de la ligné paternel. Il va vivre dans un climat de vigilance, celui-ci va, dans son comportement, être hyper vigilant. L’enfant se construit dans la vibration des parents. Le 1er les parents vont être dans la peur. Son essence va être composée dans l’environnement énergétique des parents donc plus dans le stress, plus de contrôle,….

è Le second enfant c’est la ligné maternel. Il est un peu plus apaisé

è Le troisième ça va être en charge les 2 parents avec une responsabilité plus
souple.

Le rang dans la fratrie a beaucoup d’importance car il va mettre des contrats de fidélité en place. Des enjeux inconscients très profonds et très puissants.

Les comparaisons entre frères et sœurs vont créer des jalousies, des manques, moins d’amour, ….

Chacun à son expérience de vie : un enfant qui devra vivre la peur, un enfant en manque d’amour.

Par exemple, quand il y a eu fausse couche ou IVG, l’enfant va chercher sa place dans tous les domaines de sa vie. Dans l’inconscient il a eu un grand frère ou grande sœur qui ne pas eut droit à la vie alors il se sabote, il profite moins de la vie.

Il y a 3 grossesses gémellaires sur 5 ou il y a 1 des 2 enfants qui n’arrivent pas à termes. Il y a les mêmes impactes qui la perte d’un enfant. Tout ce passe dans l’inconscient et
travailler sur ce domaine à une énorme libération dans la vie de tous les jours.

Quelqu’un qui perd son jumeau ni utéro va ressentir à dans sa vie un sentiment d’abandon et va le revivre dans toutes ses relations.

Contrat de loyauté parent/enfant :

Le 1er enfant est loyal avec son père. Par peur de manque d’amour, il va inconsciemment pas avoir le droit de dépasser son père. Ex : son mon père à gagner le SMIC toute sa vie alors le 1er, même s’il a les capacités, l’intelligence fera tous pour se saboter par loyauté envers son père et garder son amour.

Le second est loyal avec sa mère.

Jalousie :

Le 1er est là, il a tout. Le 2nd arrive et le 1er doit partager et créer des jalousies.

Si la différence  amour/ temps passé avec le bébé n’a pas été expliqué au 1er, celui-ci se sent moins aimé et donc va développer une jalousie.
Tout simplement car les parents n’ont pas verbalisés que l’amour n’a rien n’avoir avec le temps passé avec une personne.

La jalousie est aussi nourrie par les contrats de loyauté.

Exemple :

Le 1er est une fille, elle aime tout ce que son père aime.

Le 2nd est un garçon, il aime tout ce que sa mère aime. Sauf que le garçon veut se faire aimer de son père et du coup cela crée une jalousie par rapport à sa sœur n°1.

En tant que garçon, on ne peut pas devenu adulte si on n’a pas l’amour du père.

Souvent c’est dans l’inconscient, il suffit d’un mot, d’une phrase pour que les dettes énergétique, les jalousies s’estompent.

L’école :

L’école est, je pense, un système scolaire totalement déshumaniser. Il amène vers un formatage des élèves et non à la découverte du monde.

è Comment aider notre enfant à vivre dans cet environnement ?

Les soutenir dans leurs expériences de tous les jours. Conscientiser avec l’enfant que l’école est obligatoire mais que l’on n’est pas forcement d’accord avec ce qui se passe à
l’école.

Obligé un enfant à rester assis, dans le silence pour écouter des choses par forcement intéressante pour lui est déshumanisant.

è Mon enfant refuse d’aller à l’école, que Faire ?

Les enfants sont de plus en plus conscients du manque de bienveillance, du manque de liberté que représente l’école.

       Etre du côté de son enfant pour qu’il se sente soutenu.

       Reconnaitre la difficulté qu’il vit.

       Etre d’accord qu’il soit dans un système injuste punitif.

       Demander à l’enfant comment on pourrait faire pour qu’il soit mieux. Car l’école est obligatoire et les liens sociaux sont importants.

       Trouver le juste milieu. L’obliger abouti au dégout de l’école, le conflit avec l’adulte et l’autorité.

       Poser les limites de son enfant à l’équipe enseignante

       Exprimer qu’il ne se sent pas en sécurité dans l’établissement.

  Etre le porte-parole de son enfant pour qu’il puisse être entendu et soutenu. Accompagnement les enfants.

Lâcher la croyance que le parent doit être du côté de l’école. Un bon parent nourri les besoins de son enfant de sécurité émotionnelle et matérielle.

Un enfant qui ne va pas à l’école ne veut pas dire qu’il va rater sa vie.

On vit avec son enfant, on ne l’éduque pas. Un enfant est une âme il a autant de droit et de devoir qu’un adulte.

Créer un environnement sain et serein pour que l’enfant se sente en sécurité et fasse les expériences dont il a besoin pour devenir qui il est dans son unicité.

Les devoirs

Les devoirs sont une façon de la garder sous contrôle dans un rythme de travail.

Les enfants ont besoin de jouer, de découvrir le monde par eux même.

Comment gérer quand un enfant ne veut pas faire ses devoirs : le soutenir, comprendre que c’est trop, être le médiateur entre l’enfant et le professeur.

La punition

Est un aveu de faiblesse, d’impuissance. Qui peut punir quelqu’un qui croit qu’il a une position hiérarchique supérieure. Il n’y a pas d’amour et de bienveillance.

Punir = mettre une tension entre l’enfant et l’adulte qui la donne. Etre dans l’injustice totale. C’est archaïque.

On peut poser un acte quand l’enfant a été prévenu. La communication a été essayée, les besoins ont été exprimés. La punition doit être la dernière des solutions.

 

Difficulté scolaire :

Il n’y a pas d’erreur. Les enfants veulent juste une reconnaissance de leurs difficultés, un sourire. Ils veulent être aidé pas le non jugement et la non pression.

La compétition :

Le système est basé sur la compétition. Pour être aimer, respecter, reconnu il demande aux enfants d’être premier de la classe.

Il y a une pression au niveau de l’enfant premier et le reste de la classe est dévalorisé.

Dans ce système, pour être aimé, il faut que l’autre échoue.

Le sain et naturelle aujourd’hui est la collaboration. Créer un système qui les enrichi à travailler ensemble.
Créer une autonomie, les accompagner à expérimenter la vie en sécurité. Leur
inculquer que l’on est plus fort à deux mais je ‘ai pas besoin de l’autre. 

Passion :

Les enfants et les écrans

Le jeu vidéo est un mode imaginaire ou les enfants aiment créer et avoir une interaction qui lui procure beaucoup de joie. Il passe du temps à explorer un monde.

Les parents ont une très mauvaise image des jeux vidéo par peur. Il n’y a pas d’histoire de valeur entre jouer dehors ou jouer aux jeux vidéo.

Bien sûr tout dépend du jeu. Un jeu de guerre va emmener des tensions. Pour l’enlever, on peut nommer la tension, en parler, ne pas couper les écrans, exprimer à l’enfant que le jeu devient sa nourriture.

è Le problème est comment est abordé le jeu vidéo ?

 C’est le parent qui créer la tension par sa manière étiqueter le jeu vidéo.

è Qu’est ce qui fait que l’enfant est addict au jeu ?

C’est la tension que le parent met dedans. L’enfant sent que le jeu vidéo va lui être enlevé alors il profite du temps et devient addict.

L’enfant est accro à la joie et non au jeu vidéo.

è Où est la limite entre imposer ou guider ton enfant ?

Intégrer que tout ce contre quoi on lutte on leur renforce. Plus on est en guerre sur le temps passé devant les jeux vidéo, votre enfant voudra augmenter la quantité de temps passée.

C’est une loi universelle.

La limite c’est la vie en communauté. L’enfant peut choisir dans la limite dans la vie en communauté.

La limite c’est la peur des parents que l’enfant se perdre, qu’on le traite de mauvaise parent, le peur des parents d’être jugé.

J’impose des limites quand il y a un risque de blessure et de mort, sinon je laisse vivre l’expérience à l’enfant.

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